Avec l'entrée en vigueur du cessez-le-feu à Gaza, le danger posé par les munitions non explosées continue de menacer la vie des civils.
Des rapports des Nations Unies et des organisations humanitaires indiquent qu'une part importante des bombes larguées par Israël sur le territoire n'a pas explosé, ce qui représente un risque constant pour les enfants et les familles qui se déplacent dans les rues et les quartiers de la ville.
Les efforts de déminage de la zone se heurtent à des obstacles majeurs, notamment des restrictions à l'importation d'équipements essentiels tels que des véhicules blindés et des câbles détonants, ce qui entrave les opérations humanitaires et accroît les risques pour les habitants.
Des experts et des observateurs avertissent que ces dangers pourraient entraîner davantage de blessés et de décès parmi les civils, même en cas d'arrêt des opérations militaires
Le droit international, notamment le droit coutumier et la Convention de La Haye, tient Israël, en tant que puissance occupante, responsable de la gestion des restes de guerre et de la sécurité des civils.